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Nomination d'Anne Tanguy à la direction du Quartz, Scène nationale de Brest  13/03/2024

Mme Rachida Dati, ministre de la Culture, en plein accord avec François Cuillandre, président de Brest métropole et maire de Brest, Loïg Chesnais-Girard, président du Conseil régional de Bretagne, Maël de Calan, président du Conseil départemental du Finistère, Stéphane Roudaut, président de Brest'aim, donne son agrément à la nomination d'Anne Tanguy à la direction du Quartz, Scène nationale de Brest, sur la proposition unanime du jury réuni le 21 février 2024.

Anne Tanguy est actuellement directrice des 2 Scènes, Scène nationale de Besançon, depuis 2011. Elle a auparavant été directrice de la Scène conventionnée du Théâtre d'Auxerre et secrétaire générale de la Scène nationale 61 à Alençon.

Dans un Quartz rénové après trois années de travaux, Anne Tanguy définit son projet autour de trois fondamentaux, "Alliance, Altérité et Solidarité", qu'elle propose de porter en équipe, à l'intention des artistes, des publics et des partenaires.

Anne Tanguy entend poursuivre l'histoire de cet établissement emblématique, populaire, et ouvert sur la métropole, la région, le national et l'international. Elle entend s'appuyer sur les enjeux traversés par le Quartz depuis son ouverture et l’amener à relever les défis d'aujourd'hui liés à la création, à la participation des publics, à la justice sociale et à la durabilité.

Enfin, le projet d'Anne Tanguy cherchera à accompagner les artistes et les œuvres, en collaboration avec des partenaires au niveau régional, national et européen. Une plus grande attention sera portée à l'enfance, à la jeunesse et aux familles. Des jumelages seront imaginés avec les quartiers brestois.

Anne Tanguy succède à Maïté Rivière. La ministre tient à remercier Paul-Jacques Hulot qui assure la direction par intérim du Quartz depuis juin 2023.
La Rédaction

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© PKL.
Sara a donc 16 ans lorsqu'elle découvre les images des incendies apocalyptiques qui embrasent l'Australie en 2020 (dont l'île Kangourou) qui blessent, brûlent, tuent kangourous et koalas. Images traumatiques qui vont déclencher les premiers regards critiques, les premières révoltes générées par les crimes humains sur l'environnement, sans évocation pour elle d'échelle de gravité, cela allant du rejet de solvant dans les rivières par Pimkie, de la pêche destructrice des bébés thons en passant de l'usage de terres rares (et les conséquences de leur extraction) dans les calculettes, les smartphones et bien d'autres actes criminels contre la planète et ses habitants non-humains.

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Composée de trois fragments ("Revoir les kangourous", "Dézinguée" et "Qui la connaît, cette vie qu'on mène ?") et d'un interlude** – permettant à la jeunesse de prendre corps "dansant" –, la pièce d'Aurélie Namur s'articule autour d'une trajectoire singulière, celle d'une jeune fille, quittant le foyer familial pour, petit à petit, s'orienter vers l'écologie radicale, et de son absence sur le plateau, le récit étant porté par Camila, sa mère, puis par Aimé, son amour, et, enfin, par Pauline, son amie. Venant compléter ce trio narrateur, le musicien Sergio Perera et sa narration instrumentale.

Gil Chauveau
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© Pierre Gondard.
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© DR.
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